Hier, je passais par la grande rue de ma ville.
Enchifrenée (bien que littéraire par nature).
Avec envie de ne voir personne, parce que je suis trop en bad quand chuis comme ça.
Mais c’est le seul itinéraire direct entre A (mon sweet home) et B (là ousque j’allais).
A cause du soleil, de la littérature, des idées qui se baladaient nonchalamment et tournaient dans l’air du matin comme des parfums, d’une association à une autre, je pensais à La valse jaune.
« Il y a du soleil dans la rue
Moi j’aime le soleil mais j’aime pas les gens
Et je reste caché tout l’temps
A l’abri des volets d’acier noir » Lire la suite